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Raviver la ville

2018

Marqué par mon expérience de vie à Copenhague, mon mémoire de fin d’étude observe la perte de sensible dans le milieu urbain français, plus particulièrement dans sa temporalité nocturne.

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J’observe à travers cet écrit la présence régulière, quotidienne, banale, du feu dans l’espace public danois. Et j’envisage en quoi le retour de la flamme dans la ville d’aujourd’hui aurait un intérêt.

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En prenant comme angle d’attaque les usages de l’agréable du feu, différentes qualités sont ainsi explorées: lumière, ombre, mouvement, paysage en évolution, facteur de rassemblement et

donc de rencontre, possibilité d’action et de choix laissée au citadin, rupture dans le temps, contemplation, rêve.

 

Peut-être pourrait-on envisager la flamme comme battement du pouls de la nuit à l’échelle de la ville toute entière, pour la ramener à une échelle humaine.

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Et pour un retour du sensible.

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